Retour aux sources et transmission dimanche 20 juillet à l’occasion du Festival d’Été avec Labess et Dendana.

• LABESS

C’est sur la route de l’exil que le groupe  algéro-québécois Labess rencontre son identité musicale. Plurielle, libre, vivante, nourrie des racines algériennes et du vaste voyage de l’artiste Nedjim Bouizzoul. À l’origine du gipsy-chaâbi, Labess est une histoire de transmission et d’abolitions des divergences autour des questions identitaires, comme l’évoque leur dernier album Dima Libre,« toujours libre » en arabe, sorti à l’automne 2024. Un cri collectif et brûlant pour défendre une liberté trop rare. Mais aussi la fierté de la traversée de Labess qui depuis vingt ans, rassemble les cœurs dans ce qui fait son ADN : la magie du live.

• DENDANA I Première partie

Auteur compositeur algérien, Dendena puise ses influences dans le blues, le rock et le patrimoine saharien, alliant musiques modernes et traditionnelles. Découvert sur les ondes des radios algériennes, Dendena poursuit sa carrière en France. Dix ans et trois albums plus tard, il sort Chadi Madi, un nouvel opus inspiré de l’expression équivalente à « Am Stram Gram » dans les pays francophones, rappelant son enfance à Tlemcen. L’album retrace son exil, et décrit le rêve d’une Algérie moderne en quête de libertés. « Chadi Madi, Am Stram Gram »…Et si le seul choix à faire était de raconter l’Algérie telle qu’elle est réellement ? Multicolore.

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